Lundi après-midi.
Nous sommes accueillis à l'entrée de la cour du chef de clan de Tengrela par les grands-frères de Fatim. On nous fait entrer, asseoir aux places d'honneur, des raffraichissements sont apportes, puis Fatim en personne vient nous saluer et s'asseoir avec nous un moment.
C'est la premiere de ses robes que nous voyons, elle en changera plusieurs fois au cours de la soiree, ainsi que de coiffure. Chaque fois, elle est éblouissante, avec un sourire heureux.
Ses amies nous reconnaissent, ses grands frères et plus tard la petite Augustine, grande et droite comme une jeune fleur, se relaient auprès de nous pour s'assurer de notre bien-être.
Du mariage religieux musulman, exclusivement masculin (exception faite des peaux blanches), aux danses symboliques, exclusivement féminines (à l'exception du grand frère qui filme la journée), nous voici emportés dans un tourbillon de festivités.
Les danses se succèdent, et malgré notre différence évidente - je veux bien entendu parler de notre méconnaissance des techniques de danse - nous sommes toujours accueillies et intégrées dans les cercles joyeux.
Les robes sur mesure faites pour l'occasion remportent un franc succès, et jusqu'aux boubous des hommes, derrière le dos desquels les enfants chuchotent "on dirait un imam, tu crois que c'est possible un imam tou babou ?"
Jusqu'au bout de la nuit, nous serions restés parmi nos hotes généreux, à danser au son des balafons ...
Nous sommes accueillis à l'entrée de la cour du chef de clan de Tengrela par les grands-frères de Fatim. On nous fait entrer, asseoir aux places d'honneur, des raffraichissements sont apportes, puis Fatim en personne vient nous saluer et s'asseoir avec nous un moment.
C'est la premiere de ses robes que nous voyons, elle en changera plusieurs fois au cours de la soiree, ainsi que de coiffure. Chaque fois, elle est éblouissante, avec un sourire heureux.
Ses amies nous reconnaissent, ses grands frères et plus tard la petite Augustine, grande et droite comme une jeune fleur, se relaient auprès de nous pour s'assurer de notre bien-être.
Du mariage religieux musulman, exclusivement masculin (exception faite des peaux blanches), aux danses symboliques, exclusivement féminines (à l'exception du grand frère qui filme la journée), nous voici emportés dans un tourbillon de festivités.
Les danses se succèdent, et malgré notre différence évidente - je veux bien entendu parler de notre méconnaissance des techniques de danse - nous sommes toujours accueillies et intégrées dans les cercles joyeux.
Les robes sur mesure faites pour l'occasion remportent un franc succès, et jusqu'aux boubous des hommes, derrière le dos desquels les enfants chuchotent "on dirait un imam, tu crois que c'est possible un imam tou babou ?"
Jusqu'au bout de la nuit, nous serions restés parmi nos hotes généreux, à danser au son des balafons ...
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